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LE POUVOIR DES VIBRATIONS

Dernière mise à jour : 30 août 2022

Bols tibétains, bols de cristal, gongs, diapasons sont autant d’instruments utilisés en sonothérapie pour apaiser le corps et l’esprit. Au cours de cette pratique thérapeutique, les vibrations créées par les instruments entrent en résonance avec l’organisme pour le « réaccorder » avec à la clé détente, relaxation et mieux-être général.



La sonothérapie en pratique


Quiconque a déjà profité d’un gong ou d’un bol tibétain pendant un cours de yoga, une séance de méditation ou un massage connait les vertus apaisantes de ce son ou plutôt de ces vibrations. Ce sont elles qui entrent en résonance avec les cellules de l’organisme. « On n’a presque pas besoin d’écouter le son, c’est l’effet vibratoire qui fait du bien, explique Lydéric Auclair, sonothérapeute au centre Zen & Sounds à Paris. Le corps, c’est comme un instrument de musique, et grâce au gong Bath, au massage sonore, on va le rééquilibrer, le réharmoniser, faire en sorte que l’énergie circule à nouveau correctement. » Alors que l’utilisation de bols et de gongs pour la méditation en Asie est ancestrale, on commence tout juste à s’intéresser aux pouvoirs du son comme élément curatif. Des expériences ont déjà été menées notamment par le professeur Mitchell Gaynor, oncologue américain, dans les années 90 sur les pouvoirs du son pour apaiser les douleurs de ses patients. En France, Fabien Maman (auteur du Tao du son) a été l’un des premiers, dès la fin des années 80, à s’intéresser à la médecine vibratoire comme moyen d’équilibrer le corps, l’âme et l’esprit. En 2011, la sonothérapie faisait son entrée au CHU de Saint-Etienne, en soins palliatifs. Et les vibrations n’ont probablement pas fini de révéler leurs bénéfices. « Nous collaborons actuellement avec des hôpitaux, des études en cours sur les effets des vibrations sur le stress notamment », poursuit Lydéric.



Une vague de bien-être


Que ce soit au cours d’un gong Bath ou en massage sonore, les vibrations se propagent dans l’organisme pour aller déloger les tensions, dénouer les blocages.

Comment ? Grâce à l’eau.

Notre corps est composé à 70% d’eau environ, un excellent conducteur pour les vibrations. « Les instruments font entrer l’eau du corps en vibration pour faire tomber le stress » explique Swann, sonothérapeute, cofondateur du centre Zen & Sounds. Grâce au liquide présent dans notre corps, les vibrations voyagent à travers les cellules pour rétablir l’équilibre cellulaire malmené par le quotidien. « En gong Bath, comme en massage sonore, c’est le même principe, on libère la circulation sonore, lymphatique et énergétique. L’objectif étant de retrouver un certain équilibre. La sonothérapie aide à être en accord avec soi, à se recentrer. »



Gong Bath ou massage sonore ?


Les deux techniques peuvent être complémentaires.

Le gong Bath ou un bain sonore est un concert méditatif pratiqué en groupe ou en solo. Il n’y a qu’à s’allonger, fermer les yeux et se laisser porter par les vibrations. « C’est une sorte de douche intérieure qui vient libérer toutes les tensions et procure une sensation de liberté », image Swann. On ressort d’une séance détendu, plein d'énergie.

Le massage sonore est une pratique individuelle (ou à deux) au cours de laquelle le praticien vient déposer des bols thérapeutiques sur différentes parties du corps. « On parle plus de la vibrapuncture, car on travaille sur les méridiens comme en acupuncture, explique Swann, on utilise des diapasons pour envoyer une fréquence très précise en fonction de la problématique de la personne. On travaille le stress bien sûr mais aussi les problèmes musculaires, circulatoires, les contractures. Le massage sonore permet un travail de précision ; le gong Bath sera plus général. »

Dans les deux cas, les vibrations soignent l’énergétique, une composante importante de notre bien-être trop souvent occultée dans nos sociétés.





Il est grand temps de se mettre au diapason !



Venez découvrir les gong Bath et les massages sonores dans notre centre parisien.



Extrait de "Méditation Magazine" par Jessica Xavier

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